La simulation immersive se libère enfin de ses racines

Pour un genre qui risquait autrefois de sombrer dans l’obscurité, la simulation immersive n’a pas mal tourné. Il a été maintenu à flot au cours de la dernière décennie par des développeurs qui ont exploité ses racines, produisant de nombreux jeux PC favoris. Dishonored d’Arkane a pris l’étrange furtivité de Thief et a ajouté une dose d’industrialisation, Prey a mélangé l’horreur de science-fiction de System Shock 2 avec un gallon de GLOO, et les redémarrages de Deus Ex d’Eidos Montréal ont ravivé l’affiche surhumaine du genre.

Il y a eu des innovations, mais la plupart des sims immersifs apparus ces 10 dernières années ont collé au modèle des architectes du genre. Cela change. Maintenant, ils vont audacieusement là où aucun humain amélioré cybernétiquement n’est allé auparavant. Jetez un coup d’œil à l’année dernière et à ce qui s’en vient, et il est clair que nous sommes à la croisée des chemins. Le genre n’a jamais paru aussi varié, ni aussi ouvert à l’expérimentation.

(Crédit image : Bethesda)

Nous aurions dû savoir que quelque chose se passait lorsque Deathloop est apparu l’année dernière. Mélangeant des niveaux ouverts et des combats en bac à sable avec une structure semi-roguelite, le dernier jeu d’Arkane a pris toutes les fonctionnalités essentielles d’une simulation immersive et les a enveloppées dans un package plus agréable au goût. C’était une offre pour le grand public, sans parler d’un grand changement pour son développeur. C’était le studio qui avait été en grande partie responsable de la survie du genre, détournant maintenant avec bonheur de sa forme typique.

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