L’armée lève les rideaux sur un contrat de développement logiciel prévu d’un milliard de dollars
L’armée a commencé à élaborer un nouveau contrat de services de soutien au développement de logiciels d’une valeur plafond annoncée au nord d’un milliard de dollars sur 10 ans.
Un avis de recherche de nouvelles sources décrit le nouveau développement de logiciels modernes IDIQ comme un moyen d’embaucher un groupe d’entrepreneurs capables d’effectuer le travail sur des commandes de tâches rapidement attribuées au fur et à mesure qu’elles arrivent.
À ce stade, l’armée envisage de sélectionner jusqu’à 10 entreprises au total, dont celles réservées aux petites entreprises.
L’Armée envisage également d’organiser un processus d’entrée en fonction pour attirer davantage d’entrepreneurs, ainsi que la possibilité de mettre en place des voies de sortie pour s’éloigner de ceux qui ont des taux élevés de propositions d’ordres de tâches infructueuses ou d’absence d’offres.
La personnalisation est un élément clé des besoins, qu’il s’agisse du développement d’un nouveau produit ou de la modification d’une offre existante. Les lauréats seront également responsables de l’hébergement et de la sécurité du logiciel en tant que service.
L’Armée met l’accent sur les pratiques modernes de développement de logiciels qui incluent DevSecOps, Agile, lean et l’intégration/livraison continue.
Dans le même temps, la liste de questions de l’armée dans la demande d’informations porte également sur d’autres domaines de développement de logiciels qu’elle devrait inclure dans le contrat.
Une deuxième question clé qui mérite d’être soulignée est de savoir si les parties intéressées peuvent fournir des exemples ou des recommandations sur la manière d’utiliser l’expérience en matière de défis de codage pour établir les qualifications des employés. L’Armée considère cette approche comme une alternative potentielle aux certifications et aux propositions, en fonction bien sûr des réponses.
Troisième question importante pour mettre en évidence l’approche d’évaluation en deux phases que l’Armée réfléchit pour cette exigence.
Pour la phase deux, l’Armée considère les défis technologiques plutôt que les démonstrations. L’armée veut savoir ce que les répondants en pensent.
Les réponses à la DDR doivent être envoyées le 10 juin.