La Tunisie étourdit la France mais la jubilation se transforme en agonie alors que les progrès sont insuffisants

Jalel Kadri avait dit à la Tunisie que rien n’était impossible. Après une victoire presque impensable contre la France, ils l’ont presque cru aussi. Mais le but de Mathew Leckies pour l’Australie, marqué à environ 25 km contre le Danemark, s’est avéré plus crucial que le seul marqué ici car c’est eux, et non la Tunisie, qui se sont qualifiés pour les huitièmes de finale de la Coupe du monde.

Wahbi Khazri avait pensé qu’il était le héros, son but en seconde période au stade Education City pour vaincre les champions en titre assurant une célèbre victoire 1-0 et, à l’époque, passer au tour suivant aux dépens des deux autres en Groupe D, uniquement pour l’effort de Leckies pour briser les cœurs danois et la majorité de ceux ici, l’égalisation des arrêts de jeu d’Antoine Griezmann menaçant de faire de même pour qu’il soit finalement exclu pour hors-jeu.

La Tunisie quitte maintenant cette étape, une présence vigoureuse et vibrante tout au long du tournoi maintenant réduite au silence, leur brillante performance contre l’un des meilleurs du monde finalement et déchirante pas assez alors que les Socceroos ont plutôt progressé à la deuxième place. L’impact de la menace qu’ils faisaient peser sur l’un des favoris de la compétition, cependant, persistera sûrement.

Les Français bien changés étaient misérables, les nombreuses questions sans réponse posées par les Aigles de Carthage dans un match palpitant joué contre un vacarme assourdissant, ne manqueront pas de préoccuper Didier Deschamps bien après celui-ci.

En effet, s’ils ne s’améliorent pas lors du retour de la cavalerie tant vantée, beaucoup se souviendront de la décision des managers français de changer ainsi une équipe gagnante ici comme une équipe potentiellement cruciale.

La Tunisie, qui avait besoin d’une victoire et d’une aide pour progresser pour la première fois de son histoire, a tiré avec un canon, le bruit du mur rouge et blanc derrière eux les poussant presque littéralement vers l’avant. Les foules étaient bientôt en délire lorsque Nader Ghandri a dévié un coup franc de Khazri après seulement huit minutes, seulement pour que le drapeau des juges de touche les dégonfle rapidement. Le modèle était cependant fixé et les Français, qui ont fait neuf changements depuis la victoire contre le Danemark il y a quatre jours, avaient le dos fermement appuyé contre le mur.

Le capitaine Khazri, autrefois de Sunderland, était une menace constante, terrorisant Raphael Varane et Ibrahima Konate avec son mouvement astucieux et sa ténacité pure, une demi-volée bien frappée de l’extérieur de la surface forçant Steve Mandanda à réaliser son arrêt le plus difficile de la première moitié.

L’attaquant tunisien Wahbi Khazri chute en marquant

(AFP/Getty)

Slimane, qui avait auparavant fait pression sur Varane pour qu’il fasse une erreur dans sa propre zone, avait une tête sauvée alors qu’une France remaniée et secouée, avec trop de chevilles carrées dans des trous ronds, n’a pas réussi à prendre pied dans le match. Eduardo Camavinga, l’élégant milieu de terrain central du Real Madrid, endurant une période torride en tant qu’arrière gauche de fortune.

Privés du ballon et de tout contrôle, les Bleus reculent de plus en plus, Kingsley Coman faussant la seule occasion de note large lorsqu’il est bien trouvé par Youssouf Fofana.

Khazri célèbre le premier but

(AFP/Getty)

Dès que Khazri avait frappé, passant tranquillement de côté Mandanda après le vol de Fofana au milieu de terrain, Deschamps en avait assez vu. Kylian Mbappe a été lancé pour faire ce que ceux qui préféraient à la place avaient si complètement échoué à faire. Griezmann suivra bientôt.

Adrien Rabiot, un autre des dés de Deschamps de plus en plus désespérés à mesure que le temps s’écoulait, a volé large lorsque l’ouverture méritait mieux. Mbappe, venant de la gauche, a forcé Aymen Dahmen dans le but tunisien à un arrêt brutal, avant que Randal Kolo Muani ne voie un tir dévié à distance juste à côté du poteau droit.

Antoine Griezmann de France célèbre avant que son but ne soit exclu par VAR

(Getty)

Un coup franc de Mbappe, juste là où il l’aurait placé à la main à 25 mètres, a été tiré dans le mur dans le temps supplémentaire, avant que la frappe tardive de Griezmann, déviée devant Dahmen, ne fasse penser que la France avait volé une part du butin qu’elle n’avait pas méritent à distance.

Le coup de sifflet à plein temps a semblé souffler au milieu de la cacophonie mais, avec la foule qui aboyait, l’arbitre Matthew Conger est allé à l’écran avant de décider que Griezmann était effectivement hors-jeu dans la préparation. But refusé ; Relief tunisien palpable.

La Tunisie semble découragée après le match

(Reuters)

Les Français se sont effondrés sur le gazon dans la défaite, même en tant que vainqueurs de groupe, la manière de ce revers choquant est sûre de vivre avec eux. Les Tunisiens victorieux les rejoindraient bientôt, la nouvelle du but de Leckies pour l’Australie finissant par filtrer fatalement.

Les Tunisiens se lèveraient pour célébrer, leur soutien adoré les accueillant comme les héros qu’ils sont après une performance tout à fait digne de l’adulation qu’elle a reçue. Cela aurait pu être tellement plus.

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