la garde de la police sans poursuite

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La garde de la police de quatre jeunes arrêtés après L’attaque d’un élu Lors d’un rodéo urbain le samedi 3 mai à Gironde, a été levé mercredi Sans procédure à ce stade Mais plusieurs personnes restent « activement recherchées », ont annoncé l’accusation.

Ce conseiller municipal de Gauriguet, à 30 kilomètres au nord-est de Bordeaux, avait tenté de mettre fin à un rodéo samedi après-midi avant de recevoir de nombreux coups et de perdre brièvement conscience.

Les suspects ont toujours recherché

Il souffre de plusieurs fractures au visage. Identifiés comme «ayant été présents sur les lieux», deux mineurs âgés de 15 et 17 ans et deux adultes âgés de 18 et 21 ans avaient été placés en garde à vue mardi matin.

Mais « les mesures de garde de la police ont été levées » mercredi soir « , les éléments collectés ne permettaient pas à cette étape de conserver leur implication dans les faits de violence », a déclaré Loïs Raschel, procureur à Libourne.

« Plusieurs individus restent activement recherchés, l’un ayant quitté le territoire national après les faits », a ajouté le magistrat.

Enquête pour violence aggravée

Le responsable élu a dit dans la vie quotidienne Sud-ouest Venant pour rencontrer une quinzaine de motards, sur le terrain de la ville de la ville, après avoir presque été renversé par une moto.

Le ton a ensuite augmenté et l’élu a ensuite été « violemment frappé par l’un d’eux avec un objet métallique », selon l’accusation. La victime, admise aux urgences, souffre de fractures avec l’arcade, le nez et la pommette droite.

Les informations judiciaires pour violence aggravée et non-assistance à une personne en danger ont été ouvertes contre X, spécifie l’accusation. Dans une affaire distincte au printemps de la poursuite de Libourne, un homme né en 1988 a été arrêté mardi dans cette ville pour menaces de mort contre le maire de la ville. Des armes ont été découvertes chez lui.

Verbalisé pour un dépôt sauvage de déchets, il avait appelé la police municipale et a déclaré qu’il voulait « tirer la tête » du maire et « exploser la mairie ».

En mars 2024, le Parlement a adopté une loi visant à mieux protéger les représentants locaux contre la violence. L’une des mesures phares du texte est l’alignement des sanctions avec celles prévues pour la violence contre la possession d’autorité publique, comme la police.

Article original publié sur bfmtv.com

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