Elon Musk, Guillaume Kasbarian, même combat
Entrée-N-Sortie. Pour y remédier, le snateur veut inverser la donne et basculer d’un modèle dse désengager un modèle ds’inscrire. Traduction : le marche serait interdit par défaut, sauf pour les personnes qui ont délibéré et explicitement donné leur accord en sinscrivant sur une liste. Soit exactement l’inverse de Bloctel, qui permet aujourd’hui d’exprimer son refus d’être en marche et de signaler les numéros fautifs. Le snateur y voit aussi un moyen de réduire les marges de manœuvre des fraudeurs.
Réculade ? La rapporteure du texte Olivia Richard (UC) craint la mort du démarrage, et se montre plus mesure pour préserver les emplois. La liste de consentement général au démarrage ntant pas conforme au RGPD, comme elle la indiqu mes collègues de Paris Influence, le texte au large remani hier en commission. A la place, la snatrice préfère la bonne vieille case cocher en bas d’un formulaire, comme c’est déjà le cas pour le démarchage par SMS ou par mail.
Mollo-mollo. Elle n’est pas la seule vouloir contenir les vellits de Pierre-Jean Verzelen. Le secteur des télécommunications aimerait lui aussi avoir le temps de souffler après la loi Naegelen de 2020. Cette dernière visite, dj, encadrer le démarche et lutter contre la fraude : restrictions sur les horaires et jours d’appel, nouvelles sanctions pour les fautifs, et mise en place d’un détecteur d’appels frauduleux par les opérateurs télécoms.
Superman. Ce mécanisme d’authentification des numéros (MAN) vient seulement de prendre du service, et les premiers appels ont été bloqués en octobre. Mais il est encore loin d’être parfait. D’ailleurs, il ne couvre pour l’instant que les appels de téléphone fixe téléphone fixe. Aussi, le DG de la Fédération des télécommunications, Romain Bonenfant, estime plus préférable d’attendre que la loi de 2020 produise ses effets, et den faire le bilan avant d’envisager de nouvelles mesures, qui pourraient pénaliser les marcheurs légitimes, sans pour autant compliquer la vie. des fraudeurs.
LA DONNÉESC’EST LEUR DADA. C’est aujourd’hui que se runissent en conclave les responsables des données de l’Etat. La directrice interministérielle du numérique (Dinum) convoque cet après-midi les représentants des ministres pour un comité interministriel des femmes, le deuxième et dernier de l’année. Le ministre Guillaume Kasbarian ne sera toutefois pas de la partie ses prédécesseurs aussi ne sy rendaient que de faon occasionnelle.
Au menu : un état des lieux des chantiers en cours de la Dinum pour faciliter le partage de données entre administrations et donc leur exploitation, mais aussi pour déployer lintelligence artificielle. Celle-ci devrait bientt intégrer différents outils la main des agents publics, notamment pour générer des comptes-rendus de visioconférences.