#image_title

La France dans la tourmente, l’anxiété en Europe.

L’Europe observe avec impatience les développements en cours à Paris après la victoire écrasante du Rassemblement national (RN) d’extrême droite aux élections européennes, qui a incité le président Emmanuel Macron à convoquer des élections législatives anticipées les 30 juin et 7 juillet.

L’establishment politique du pays étudie les moyens de stopper la montée de l’extrême droite tandis que le reste de l’Europe est en alerte pour voir ce qui attend le membre fondateur du bloc et la deuxième économie du bloc.

On the left, La France insoumise (LFI, The Left), the Parti socialiste (PS, S&D), les Écologistes-EELV (EELV, the Greens) and the Parti communiste (PC) – decided to form a coalition under the name “Front populaire”.

Mais une tentative similaire des factions d’extrême droite du pays n’a pas eu le même résultat.

Théo Bourgery-Gonse d’Euractiv a analysé pourquoi une union de partis d’extrême droite, le Rassemblement national (RN) de Jordan Bardella et la Reconquête d’Eric Zemmour, n’a pas abouti.

De son côté, les Républicains français ont provoqué une onde de choc mardi après que leur chef, Éric Ciotti, ait commencé à nouer des liens plus étroits avec le RN.

Cette décision a provoqué des frictions parmi les Républicains, qui appartiennent au Parti populaire européen (PPE) de centre-droit. Le premier à s’y opposer fut le candidat tête de liste du parti, François-Xavier Bellamy.

Hugo Struna et Paul Messad expliquent les divisions au sein du parti.

Les Européens franchissent le Rubicon stratégique

Autres sujets d’intérêt

Les Européens franchissent le Rubicon stratégique

Le renforcement de l’engagement européen envers l’Ukraine a été la grande histoire de la semaine.

Mais les intentions de Ciotti ont également sonné l’alarme à Berlin et à Bruxelles.

Le parti de centre-droit CDU/CSU, le plus grand membre du PPE, a menacé d’exclure Les Républicains de leur parti européen commun, écrit Oliver Noyan.

A Bruxelles, les relations entre le PPE et Les Républicains n’ont pas été faciles ces derniers temps, surtout après que la droite française s’est opposée à la candidature d’Ursula von der Leyen aux élections européennes.

« Nous attendons que la poussière retombe, puis nous prendrons les décisions qui s’imposent », a déclaré à Euractiv un responsable du PPE à Bruxelles, ajoutant que s’associer au RN allait « trop loin ».

Voir l’original ici.

www.actusduweb.com
Suivez Actusduweb sur Google News


Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte Lire la suite