Une série virtuose qui (pour) suit un adolescent de 13 ans accusé de meurtre
Déjà culte – tourné dans un seul plan de séquence, chaque épisode de la série « Adolescence » sur Netflix prend les tripes par sa tension exacerbée
« Adolescence »: le nom de cette série n’est pas nécessairement très engageant. Il pourrait faire penser à celui d’un documentaire Tendance tendance à l’arpentage des tendances, encore une fois, les horreurs d’un âge complexe et de charnière … AdolescenceC’est aujourd’hui une mini-série (disponible à partir du 13 mars Netflix). C’est en effet une question d’un adolescent: Jamie Miller, 13 ans, accusé de meurtre. Les questions du sujet. Mais la forme aussi. Parce que chacun des quatre épisodes deAdolescence A une bonne recette pour nous enregistrer sur notre écran. 20 minutes les a regardés.
Une caméra qui ne s’arrête jamais
Tout a commencé un matin. En arrivant à toute discrétion, une escouade de policiers britanniques écrase la porte d’un modeste pavillon de banlieue qu’elle investit, à la recherche de Jamie, le fils de la famille Miller, soupçonné de meurtre. Hurle, larmes, pistolets sur le temple, appareil photo en mouvement … tout va vite, très rapidement.
Une fois ses droits lus, Jamie est à bord. Le jeune garçon se retrouve au poste de police, rejoint par son père, sa mère, un avocat commis d’office et nous apprenons l’inexpressible: il est présumé coupable de l’assassinat avec un coup de camarade de classe.
Mais nous nous demandons aussi: cela fait plus de 30 minutes que la caméra suit les personnages sans arrêt. Nous n’avons vu aucun changement de plan, un plan de coupe, des champs / contre-champs depuis la première seconde de ce premier épisode. C’est bien, nous avons compris! L’adolescence est tournée sous la forme de (…)
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