Un « tueur en série » homophobe? Les premières pistes sur le suspect de meurtres
Faire divers – Un jeune sans-abri a été inculpé pour Quatre meurtres dans l’enquête Concernant les corps trouvés le 13 août dans la Seine, près de Choisy-le-Roi (val-de-marne). Quelques Détails de l’enquête ont été libérés ce dimanche 24 août Le monde ET Le parisien. Et selon les enquêteurs, la piste de crimes homophobes en série est sérieusement envisagée.
Le suspect, dont l’identité reste « Incertain »Selon l’accusation citée par l’AFP, est le sans-abrisme d’un « Vingt ans », « Officiellement » 24 ans selon une source proche du fichier, « Nationalité non structurée » Et qui parlerait très mal français. Le monde Spécifie qu’il avait présenté une nationalité algérienne et a dit qu’il s’appelait Ahmed. Il serait en fait tunisien et s’appellerait Monji. Il a été placé en détention pré-provenante.
Corps trouvé dans la Seine: le principal suspect inculpé pour les 4 meurtres
Depuis mercredi, l’homme a répondu « Trésor les enquêteurs sur ses éléments de vie » Et a refusé de s’exprimer sur les faits pendant ses 96 heures de garde à vue. Face à ce silence, mais en utilisant plusieurs éléments notés par les enquêteurs, ce dernier a estimé que la piste la plus plausible est celle des crimes en série (nous parlons de tueur en série ou de tueur en série de 3 victimes, rappelle Le parisien) commis en raison de l’orientation sexuelle réelle ou supposée des victimes – homosexualité.
Islam et » homosexualité réprimée »?
Le suspect a vécu pendant trois ans en France, mais pendant huit mois dans une situation irrégulière en squat sur les rives de Seine, non loin du lieu de découverte des corps, dans une zone connue pour être un lieu de flirt gay » où nous nous rencontrons pour des relations sexuelles furtives « , selon Le parisien.
Cependant, les 24 ans auraient pu développer une haine possible contre cette communauté. Les enquêteurs creusent la piste d’un » homosexualité réprimée Le suspect, entrant dans un conflit intérieur avec sa pratique rigoureux de l’islam, a découvert lors des enquêtes.
Selon les premiers éléments, le suspect connaissait les deux premiers disparus, ses compagnons de malheur avec qui il a passé du temps. Les enquêteurs prévoient qu’il pourrait d’abord les attaquer, alors, dans la frénésie criminelle, aurait attaqué des étrangers qui allaient dans cette zone de réunion homosexuelle.
Victimes liées au suspect
Selon les données trouvées sur son téléphone, il était un adepte d’un islam proche du salafisme, « Sans cette pratique provoquant un personnage terroriste »souligner Le parisien. En particulier, il aurait critiqué plusieurs de ses proches pour ne pas être assez religieux.
« Un mobile sexuel ne peut pas être exclu à ce stade »dit une source à l’AFP. L’enquête a mis en évidence les liens entre les victimes, le suspect et le lieu de découverte des corps. « Chacune des victimes dans une période concomitante pour leur disparition » Peut être lié au suspect, selon l’accusation. « Un lien » Existe également entre chacun et le lieu de découverte des corps, non loin « D’une salle technique abandonnée fréquentée par les sans-abri »Selon cette source.
Parmi les victimes, une a été trouvée le bas du corps « Nu ». Originaire de Créteil et de 48 ans, l’enquête a pu déterminer que cet homme était homosexuel et avait fréquenté l’endroit ce jour-là, dit Le monde. La même source ajoute que compte tenu des résultats, les rapports sexuels auraient pu avoir lieu entre le suspect et la victime. Un homme trouvé dans la Seine avait le pantalon « Plus bas aux chevilles »
Autopsies puis examens supplémentaires ont permis d’identifier « Lésions de violence, évocateur de l’étranglement » Sur deux corps et conduit à l’ouverture d’enquêtes sur les homicides confiés à la police judiciaire parisienne (PJ). Un troisième corps présent « Une trace suspecte dont l’origine n’a pas pu être déterminée »a ajouté l’accusation.
Val-de-Marne: Dans Choisy-le-roi, quatre corps découverts dans la Seine