Les plans d’éducation nationale «mesures» contre une école secondaire catholique à Pau

Les plans d’éducation nationale «mesures» contre une école secondaire catholique à PauLes plans d’éducation nationale «mesures» contre une école secondaire catholique à Pau

L’éducation nationale a déclaré le dimanche 31 mars, en considérant les «mesures» contre un établissement catholique privé dans le cadre du contrat de PAU (Pyrénée-Atlantiques), en cas de non-correction des lacunes signalées dans un rapport d’inspection qui avait conduit à une sanction, depuis suspendue, de son directeur et dont le directeur et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont le directeur et dont et dont lesquels et dont le directeur et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont et dont le directeur et dont le directeur et qui Médiat publie de grands extraits.

Catéchisme obligatoire, masses à l’époque des cours, orateurs réactionnaires en matière en particulier de l’éducation sexuelle, obstacles à la liberté de conscience … tant d’excès dénoncés par les enseignants et les élèves de la conception immaculée en Libération et la République des Pyrénées, en février et mars 2024.

Une inspection générale avait été déclenchée et un rapport rédigé en juin 2024, qui n’a pas été rendu public malgré les demandes répétées des syndicats d’enseignement.

Interrogé par l’AFP, le ministère a expliqué qu’il ne voulait pas « interférer avec l’enquête judiciaire ».

« Harcèlement moral » et « détournement de fonds publics »

Le recembre de la Bordeaux Academy a fait un rapport à l’accusation en vertu de l’article 40 du Code de procédure pénale et ce dernier a confirmé à l’AFP qu’une enquête était en cours au poste de police de PAU dans le cadre d’une enquête judiciaire ouverte pour le « harcèlement moral » et le « détournement de fonds publics ».

Une enquête préliminaire a également été ouverte pour les défis de la criminalité contre l’humanité, après une plainte Son racisme Pour le « négationnisme » ciblant un éditorial du réalisateur publié dans la Gazette du Lycée, selon la même source.

Le chef de l’établissement a été suspendu à la mi-septembre par le recteur de ses fonctions de gestion pendant trois ans, pour « endommager la laïcité« , Avant d’obtenir, fin novembre, de la justice administrative pour trouver ses fonctions, alors qu’elle est prononcée sur la substance de l’affaire.

Selon des extraits du rapport dévoilé par MediAtart, la création de 2 600 étudiants, allant de l’école maternelle au lycée a libéré les règles et programmes des écoles, comme l’a confirmé un membre de l’équipe d’enseignement de l’AFP, sous la couverture de l’anonymat.

« Tout est un mensonge »

« Nous avions des masses pendant les heures de cours. Maintenant, nous avons été informés que les confessions sortiraient des leçons », a-t-il déclaré. « Pour le reste, rien n’a changé ». Et pour pointer un « cours orienté, comme sur le génocide de la vende », « manuels avant 2007 », les discours « homophobes » ou « anti-avortement ».

« Nous avons tellement peur que nous autocensure. Ceux qui dénoncent sont traités avec des« éraflures »ou des« collabos »», déplore l’enseignant.

« Tout est un mensonge », a déclaré le directeur de l’établissement Christian Espero dimanche soir au journal Sud-ouestL’ajout d’avoir « produit des dizaines de documents pour dénoncer les biais » du rapport.

« L’intérêt de mes élèves ira toujours devant les idéologues en phase avec le Times. Mes professeurs respectent les programmes comme en témoignent nos résultats et toutes les inspections. Il se trouve simplement plus exigeant, mais ce n’est pas encore interdit », a-t-il rétorqué.

Une inspection effectuée en 2021 avait déjà souligné les dérives. Les professeurs avaient rassemblé 19 rapports pour dommages à la laïcité, selon Médiapart.

Article original publié sur bfmtv.com

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