Les États-Unis, le Royaume-Uni et la France demandent une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU sur les violences sexuelles du Hamas

À la demande du ministre israélien des Affaires étrangères Israel Katz, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France ont soumis vendredi matin une demande officielle pour tenir une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU.

La réunion demandée a pour but d’examiner les crimes qui ressortent du rapport de l’ONU sur les violences sexuelles du Hamas du 7 octobre et la situation des otages à Gaza.

Dans un communiqué, Katz a remercié les pays qui l’ont soutenu pour leurs appels à convoquer une réunion d’urgence pour discuter des conclusions du rapport de l’ONU sur les violences sexuelles perpétrées par le Hamas.

Katz a également accusé le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, de fermer continuellement les yeux sur les atrocités du 7 octobre, y compris les violences sexuelles.

« À chaque instant qui passe, les otages continuent d’être blessés et le secrétaire général de l’ONU continue de fermer les yeux et de se boucher les oreilles comme si de rien n’était. Précisément à l’occasion de la Journée internationale de la femme, son silence persistant est une honte et entache sa tête qui ne sera pas effacée.

Répondre à l’appel

Plus tôt cette semaine, FM Katz a appelé les femmes dirigeantes du monde entier à réagir au rapport des Nations Unies et à agir, tout en lançant une campagne de diplomatie publique auprès des ambassades en Israël pour reconnaître les violences sexuelles.

L’ambassadeur d’Israël auprès de l’ONU, Gilad Erdan, a demandé que les États-Unis, le Royaume-Uni, la France, Malte, l’Équateur, le Japon, la Slovénie et la Suisse fassent cette demande, selon les médias israéliens.

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