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Le Premier ministre français s’en prend au leader de gauche Mlenchon après une agression antisémite

« Horrifié par ce viol à Courbevoie et tout ce qu’il montre sur le conditionnement masculin à des comportements criminels dès le plus jeune âge et sur le racisme antisémite », a posté Mlenchon sur X, demandant « qu’on ne fasse pas de ce crime et des souffrances qu’il provoque une affaire médiatique ». spectacle. »

Les accusations d’antisémitisme contre Mlenchon se sont intensifiées depuis le début de la guerre à Gaza, alors que son mouvement France Unbowed est devenu le critique le plus virulent des actions militaires israéliennes dans le paysage politique français et a refusé de qualifier le Hamas d’organisation terroriste. Les opposants de l’homme de 72 ans l’ont accusé d’utiliser des sifflets antisémites ou de minimiser la présence de l’antisémitisme en France.

Le 22 octobre, Mlenchon a déclaré que la présidente de l’Assemblée nationale française, Yal Braun-Pivet, « campait à Tel-Aviv pour encourager le massacre » alors qu’elle se rendait en Israël pour promettre le « plein soutien de la France à Israël », ajoutant que « rien ne devrait empêcher Israël de défendre Israël ». lui-même. » Braun-Pivet a accusé Mlenchon d’utiliser délibérément le mot « camping » en raison de son héritage juif, une accusation que la triple candidate à la présidentielle a qualifiée de « mot absurde de police ».

Dans un article de blog publié le 2 juin, Mlenchon a écrit que l’antisémitisme en France était « résiduel » et « absent » des rassemblements pro-palestiniens, ce qui lui a valu d’être accusé de minimiser l’importance de l’antisémitisme malgré une recrudescence des actes antisémites signalés depuis le 2 juin. début de la guerre à Gaza. « Des échos viennent de partout des communautés juives d’Europe et de France disant ‘pas en notre nom’ », a-t-il soutenu.

Le ministre de la Justice de Macron, Eric Dupond-Moretti, a accusé Mlenchon de manière plus frontale lors d’une manifestation contre l’antisémitisme mercredi. « L’antisémitisme n’est pas résiduel en France », a-t-il déclaré. « Les mots incendiaires mènent au feu. »

Manuel Bompard, un proche allié de Mlenchon et chef du parti La France Insoumise, a déclaré que l’agression présumée montrait « l’existence d’un antisémitisme et d’un machisme omniprésents ».

« Essayer de faire croire qu’il y aurait un lien entre ce qui s’est passé et les positions politiques de France Insoumise est honteux », a-t-il déclaré.

Ce n’est cependant pas la première fois que Mlenchon se retrouve dans une situation délicate suite à des accusations d’antisémitisme. En 2013, le brandon a fait des remarques sur l’ancien ministre des Finances du pays, né de parents juifs, qui ont provoqué un tollé.

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