La mère de l’enfant brûlé dans du soda sur une aire de jeux lui donne des nouvelles
La colère est toujours là. Douleur aussi. En septembre dernier, alors qu’il jouait sur les modules d’une aire de jeux dans le district d’Izards de Toulouse, Le Petit Wail, 2 ans, se plaint à son père terrible de cuisse. Douleur qui le suivra pendant des années, comme le dit sa mère La Dépêche du Midi Ce mardi 18 février.
L’enfant était Troisième degré brûlé Par une substance toxique présente sur ses vêtements, provoquant la destruction partielle du tissu.
En effet, gémissez une diapositive sur laquelle avait été volontairement étalée de soda caustique. Un produit particulièrement corrosif et dangereux, généralement utilisé pour débarrasser des tuyaux ou même défier les surfaces sales.
« Son nerf a été attaqué »
Dans les colonnes du journal La Dépêche, Élodie, la mère de Wail, voulait rappeler la gravité des blessures de son fils. Le petit garçon avait été greffé de la peau dans les jours qui ont suivi l’incident, son pantalon ayant été incrusté de sa chair.
« Il grandit et la greffe devient très inflammatoire. Son nerf a été attaqué. Nous devons voir un chirurgien début mai. Nous savons déjà qu’il devra mettre des vêtements de compression jusqu’à ses 4 années (…). »
En septembre, les parents de gémissent également déposés Une plainte contre Aldi Francesigne dans lequel suspecter, Deux jeunes mineurs âgés de 11 et 12 ans Au moment des événements, avait réussi à obtenir du soda caustique.
L’audience, qui devait avoir lieu ce lundi 17 février, a été décalée en juin prochain en raison d’un nombre important de dossiers à traiter par la justice.
Les deux mineurs avaient reconnu les faits
Pour Élodie, dont la vie quotidienne a été bouleversée 18 septembreVoir son enfant souffrir est une douleur douloureuse. Bien qu’elle accepte le report du jugement, elle ne comprend toujours pas pourquoi les familles des suspects n’essaient pas de contacter elle.
« Les parents ne sont même pas venus nous voir s’excuser », a déclaré Élodie à La Dépêche. « J’étais à deux mètres d’eux. Aucun des parents n’est venu me voir (…) », poursuit-elle tristement.
Les élèves du collège, dont le calendrier avait été allégé le jour des faits, expliquant leur présence dans le terrain de jeu, avait exprimé leurs regrets lors de l’enquête. Dans un communiqué de presse du bureau du procureur de Toulouse rendu public le 26 septembre 2024, il a été indiqué que les mineurs avaient « reconnu l’intégralité des faits ». Faits attribués à l’ennui des deux pré-adolescents.