La France inculpe deux personnes pour avoir mutilé un chien de 93 ans
Les autorités françaises ont inculpé deux employés d’un centre d’élevage pour homicide involontaire après qu’un chien a tué une femme de 93 ans dans le sud du pays, a indiqué vendredi le procureur de la République.
Un apprenti de 18 ans dans un élevage spécialisé dans l’élevage de grands dogue argentins promenait trois chiens dans un cimetière au nord-ouest de la ville de Nîmes lorsqu’un des chiens s’est échappé de sa laisse et a attaqué l’ancien maire du village.
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Les autorités françaises ont inculpé deux employés d’un centre d’élevage pour homicide involontaire après qu’un chien a tué une femme de 93 ans dans le sud du pays, a indiqué vendredi le procureur de la République.
Un apprenti de 18 ans dans un élevage spécialisé dans l’élevage de grands dogue argentins promenait trois chiens dans un cimetière au nord-ouest de la ville de Nîmes lorsqu’un des chiens s’est échappé de sa laisse et a attaqué l’ancien maire du village.
Le Dogo Argentino a mortellement blessé l’homme de 93 ans, qui visitait la tombe d’un proche dans le village de Canaules-et-Argentières.
Le directeur de 43 ans et l’apprenti ont été inculpés d’homicide involontaire, mais l’homme de 18 ans a été libéré, a indiqué le procureur.
La gérante et ses jumeaux, âgés de 19 ans, ont également été accusés de falsification de scène de crime après avoir retiré le chien du village avant l’arrivée des autorités locales.
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Les Dogo Argentinos sont de grands chiens musclés dotés de mâchoires puissantes qui peuvent peser entre 30 et 45 kilogrammes à l’âge adulte.
L’apprentie a d’abord déclaré à la police que le chien était un « errant », mais a ensuite expliqué en garde à vue que le gérant et ses fils avaient fait pression sur elle pour qu’elle dise cela.
Elle a avoué « qu’il s’agissait d’un stratagème concocté par le gérant pour éviter d’assumer ses responsabilités », a déclaré le procureur de la République Abdelkrim Grini.
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Le gérant du chenil doit déjà être jugé en septembre dans une autre affaire liée à des « violences », a ajouté Grini.
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