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La France fait une offre de 700 millions d’euros pour les unités de sécurité d’Atos

Le groupe technologique criblé de dettes Atos a annoncé vendredi que l’État français avait fait une offre de 700 millions d’euros pour ses activités les plus sensibles, notamment la cybersécurité et les supercalculateurs utilisés pour la dissuasion nucléaire du pays.

Cette offre, d’un montant de 750 millions de dollars, intervient après que Paris a déclaré qu’il ne permettrait pas que les activités stratégiques du groupe français soient reprises par des acteurs étrangers.

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Le groupe technologique criblé de dettes Atos a annoncé vendredi que l’État français avait fait une offre de 700 millions d’euros pour ses activités les plus sensibles, notamment la cybersécurité et les supercalculateurs utilisés pour la dissuasion nucléaire du pays.

Cette offre, d’un montant de 750 millions de dollars, intervient après que Paris a déclaré qu’il ne permettrait pas que les activités stratégiques du groupe français soient reprises par des acteurs étrangers.

Atos a indiqué dans un communiqué que son conseil d’administration et sa direction « discuteront de cette proposition avec l’Etat français, notant qu’aucune garantie ne peut être donnée que les parties parviendront à négocier et à conclure un accord définitif ».

L’État français cherche à acquérir les activités du groupe dans les domaines de l’informatique avancée, des systèmes critiques et de la cybersécurité.

Cela survient également trois jours après qu’Atos a choisi l’offre de sauvetage financier de son principal actionnaire, le cabinet de conseil informatique français Onepoint, plutôt que celle du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky.

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Atos, qui détient des contrats avec l’armée française et est le partenaire informatique des JO de Paris, croule sous près de cinq milliards d’euros de dettes.

pr/mai/lth/ach

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