La cour des auditeurs indique un soutien « disparate » aux jeunes adultes
Les soins aux jeunes adultes quittant l’assistance infantile (ASE) restent trop disparates d’un département à un autre, estimations dans un rapport publié le mercredi 19 mars, la Cour des auditeurs qui considère « déterminer » pour améliorer le soutien pour empêcher des « situations dramatiques ».
Près de 397 000 jeunes, dont 31 900 adultes, sont soumis à une mesure de protection dans le cadre de Assistance sociale de l’enfance (ASE) En France, un système qui fait partie des départements depuis les lois de décentralisation de 1982-1983.
« Si les départements tentent de répondre aux besoins des jeunes adultes, les méthodes de leur soins divergent selon les territoires », note la cour des auditeurs dans son rapport annuel sur les politiques publiques en faveur des jeunes.
Empêcher les « sorties sèches »
« En ce qui concerne une compétence décentralisée, il est légitime que le degré et les méthodes de soutien des jeunes de l’aide sociale à l’enfance ne sont pas identiques dans tous les départements », soulignent les magistrats financiers. Mais « leur action dans ce domaine doit cependant être construite sur une base de base qui ne compromet pas l’égalité des utilisateurs avant le service public. »
La protection des jeunes adultes de l’ASE a été progressivement étendue ces dernières années afin d’éviter les «sorties sèches», sans perspective d’intégration sociale et professionnelle.
La loi sur le taquet À partir du 7 février, 2022 concernant la protection des enfants a notablement rendu obligatoire de prendre en charge jusqu’à 21 ans de jeunes adultes sans ressources et sans soutien familial suffisant.
Mais « la loi de 2022 n’a pas entraîné une augmentation notable et uniforme de la proportion de jeunes adultes quittant l’ASE soutenu par les départements », écrit la Cour des auditeurs.
Vulnérabilité et précarité des jeunes adultes
« Des progrès sont notés sur le logement ou l’assurance maladie, mais pas en ce qui concerne l’accès à » Nest Egg « – correspondant aux allocations de dos à l’école dont les jeunes sont censés avoir leur majorité.
Cependant, l’urgence est là, avec « près de la moitié des sans-abri âgés de 18 à 25 ans » étant des anciens de l’ASE, alerte la cour des auditeurs. « Un meilleur soutien de ces jeunes adultes, toujours vulnérable, est donc décisif pour empêcher cette situation dramatique ».
Les magistrats appellent en particulier « renforcer la coopération avec les missions locales pour garantir l’accès aux jeunes adultes aux systèmes d’intégration sociale et professionnelle » et recommander « définir des objectifs de soins minimaux ».