« extrêmement »
Santé – une nouvelle métaphore dans laquelle l’hôpital public a des problèmes. Les urgences de l’hôpital universitaire de Can ne peuvent plus se connecter au site de cet écrit, le 3 novembre, faute de médecins à superviser. Ce sont « Très rare »estime Mélanie Desicreix, présidente de la Messiyndicale Nationale d’Allins (ISNI), et Haleine.
« Il n’y avait pas assez de médecins pour faire face à la pollution »dit-il dans un entretien à l’Afp. Conditions de surveillance « Ce n’était pas satisfaisant, il y avait des plaintes et certains étaient bondés ». « Il devait y avoir six médecins dans le service, mais il n’y en avait que trois. Cela a affecté la santé des personnes impliquées »explique Mélanie Debarreix à l’Afp.
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Dès ce lundi, urgence, miracles déjà, car il a fallu se passer des encouragements de l’administration au deuxième semestre, de novembre à mai. Selon asni, cela représente une vingtaine d’autres disponibles au travail de Can. Ces jeunes médecins concernés devraient être orientés vers d’autres services, voire vers d’autres hôpitaux de la région.
« C’est très difficile, mais le plus important est que tout cela se fasse sans changer leur éducation »continue Mélanie DesicArreix, je regrette que « Modifications internes et opération facile ».
« Troisième problème »
La direction est établie, nommée Le mondej’espère trouver « Inspiration d’autres Chufis ».
« Au Can même, Chunchi est confronté à un grave problème, souvent des personnes âgées, souvent sans aucune autre solution pour avoir des hôpitaux dans les zones où ils se trouvent »performance écrite, selon Le monde.
L’Agence Nationale de la Santé (ARS), dans un message repris par les médias, sauve-le Ici en Normandiedes références au-delà de ce que demandent la plupart des experts « Contribution ».
Mais ces erreurs ne sont pas correctes pour l’établissement de Caen, a critiqué Mélanie Debarreix. « C’est aussi partout en France : les internautes ont peur de parler en coulisses, par peur »il a encouragé, se rappelant le rôle de« sois prudent » de L’Isni.
En Can, « Nous avons eu de la chance d’avoir AR et Chu derrière nous pour faire ça d’un coup. Il valait mieux prendre cette décision, plutôt que de paniquer derrière elle. ».
Certaines personnes tombent plus malades que d’autres, et ces médecins ont raison
La sécurité publique, ça explose de la même manière à la table du cabinet
(tagstotranslate) Chu de Can