Évaluation des joueurs: Inter 4-3 Barcelone (AET) – Sacrifice de Lautaro, Acerbi et Sommer’s Heroiques

Milan, Italie – 06 mai: Lautaro Martinez du FC Interazionale est contestée par Pau Cubarsi du FC Barcelone, qui se traduit par l’arbitre Szymon Marciniak (non illustré) accordé une pénalité au FC Interazionale lors de la Ligue champion Stadium le 06 mai 2025 à Milan, en Italie. (Photo de Carl Reine / Getty Images)

Les gagnants de 4-3 ont émergé après un temps supplémentaire contre Barcelone lors d’une rencontre à couper le souffle, au cours de laquelle ils ont d’abord gaspillé une avance de deux buts, pour répondre au retour du Blaugrana avec un égaliseur de temps de blessure spectaculaire du défenseur central Francesco Acerbi.

Parfois, le milieu de terrain des Nerazzurri, en particulier Nicolò Barella et Henrikh Mkhitaryan, a eu du mal à faire face au rythme et à l’intensité des adversaires, se sentant étouffés par la presse implacable de Barcelone. Cependant, des performances magistrales de l’Acerbi, de Denzel Dumfries, du capitaine Lautaro Martinez et de Yann Sommer ont finalement obtenu le côté de Simone Inzaghi leur deuxième Finale de la Ligue des champions en trois saisons.

Football Italia faisait partie des médias accrédités à San Siro – voici les cotes des joueurs.

Inter 4-3 Barcelone: ​​notes des joueurs

Entre: Sommer 8; Bisseck 6 (71 ‘Darmian 6.5), Acerbi 8, Bastoni 7.5; Dumfries 7.5 (108 ‘de Vrij 6.5), Barella 5.5, Calhanoglu 6.5 (79’ Zielinski 6), Mkhitaryan 5.5 (79 ‘Frattesi 7), Dimarco 6.5 (55’ Carlos Augusto 5); Lautaro Martinez 8 (71 ‘taremi 6.5), Thuram 6.5

Inter Best Player: Sommer, Acerbi et Lautaro Martinez 8 –Montrant un esprit de sacrifice inégalé dans la nuit la plus importante de la saison, le capitaine se joint non seulement à la bataille malgré le fait d’être partiellement en forme, mais a un impact décisif – en stimulant l’ouverture et en remportant la pénalité qui mène au deuxième but de son équipe. À l’autre extrémité du terrain, les sauvegardes magistrales de Sommer se maintiennent à flot tout au long de la seconde mi-temps et du temps supplémentaire. Et enfin, que peut dire de plus sur un défenseur central qui donne tout pour contenir l’attaque la plus mortelle de l’Europe – puis augmente pour marquer un égaliseur de temps de blessure dramatique?

Note la plus basse: Carlos Augusto 5 – Alors que beaucoup espéraient que sa présence apporterait la solidité à la défense tout comme Barcelone se préparait à tout lancer, son impact s’est avéré désastreux – ouvrant directement la voie à un deuxième but immédiat. Heureusement pour lui, ses coéquipiers ont refusé de laisser l’une de ses pires performances de la saison ruiner la nuit.

Inter Coach: Simone Inzaghi 7.5 – Le Bayern Munich et Barcelone ont tous deux une qualité technique supérieure par rapport à l’Inter, mais le grain et le caractère de l’équipe Simone Inzaghi ont expliqué au cours des quatre dernières saisons ont conduit à un résulte impensable – mais méritée. Surtout, ses substitutions (à l’exception de Carlos Augusto) étaient parfaites, injectant une nouvelle vie dans le Nerazzurri juste au moment où le match semblait glisser de leur portée.

Barcelone: Barcelone: ​​Szczesny 6; Eric García 7 (98 ′ Fort 6), Cubarsì 5.5 (106 ′ Gavi N / A), Iñigo Martinez 5.5 (76 ‘Araujo 5.5), Gerard Martin 6.5; De Jong 6, Pedri 6.5; Lamine Yamal 7, Dani Olmo 6.5 (82 ‘Fermin Lopez), Raphinha 6.5; Ferran Torres 5.5 (90 ‘Lewandowski 5.5)

Barcelone Meilleur joueur: Lamine Yamal 7.5 – C’est une pure coïncidence que son nom n’apparaît pas sur la feuille de match. Presque tous les mouvements attaquants coulaient à travers ses pieds – une concentration de talent rarement vue sur le terrain à San Siro.

Barcelone la plus basse: Ferran Torres 5.5 – La sauvegarde de Sommer défie l’explication, mais son manque devant un but ouvert en dit long sur son manque de présence attaquante. Bien que son mouvement aide à créer de l’espace, il ne suffit tout simplement pas d’offrir à Barcelone le tranchant dont ils ont besoin à l’avant.

Barcelone Coach: Hansi Flick 5 – L’absence d’un plan B semble être ce qui a finalement retenu Barcelone dans cette campagne de Ligue des champions. Bien que leur potentiel d’attaque reste une résistance claire avec de la place à maximiser, leur incapacité à s’asseoir plus profondément et à défendre compactement lorsque la situation en a exigé que cela leur a coûté cher – en mettant à l’élimination contre un interne clairement inférieur en termes de qualité technique.