Arrêté dans la zone principale de sécurité de Vendin-Le-Vedil, qui est le « Seigneur Samedi » qui a été laissé sur place ?
L’un des 100 prisonniers les plus dangereux de France, détenu à la prison de Vendin-le-vieil, a reçu une autorisation pour son travail RTL.
Cet homme, âgé de 52 ans, est connu comme l’un des dealers de drogue de la cuurneuve (Seine-Saint-Denis), selon les informations de la police BfMTV-Service.
En 2012, il a été condamné à huit ans de prison pour son implication dans la consommation de drogues « en tant que criminels, principalement pour organiser un réseau à grande échelle des Pays-Bas à Larnelands en passant par Los Angeles.
S’échapper pendant les essais cliniques
Sauf que deux ans plus tard, alors qu’il était à l’hôpital pour des examens médicaux, l’homme a survécu. En effet, en juin 2014, il a été libéré par un groupe d’hommes armés qui ont fini par se rendre à son hôpital de Delafontaine en s’en prenant à ceux qui s’en chargeaient.
Ce vol a duré deux semaines. Le 19 juin 2014, il est arrêté dans la soirée sur la route nationale, devant l’hôtel où il se cachait au Blanc-Messil, sans rien garder.
Même si le prisonnier de Vendin-le-vieil devrait être libéré en 2029, il espère obtenir une réduction de peine. Le nouvel abandon, donné par la salle communicante de la sentence de l’attraction de Douai Cushit vendredi, intervient dans le cadre de son planning professionnel.
« Endroit stupide et politique »
Lorsque cet ami le lui demanda, il les trouva tous désagréables de la part du chef de l’établissement de Vendin-Le-vatil. Le juge chargé de l’affaire ne savait pas où. Kalambankhanga, mais la chambre de combat du tribunal de Dooai au Pérou a confirmé la décision.
« Cette idée a été créée par des juges indépendants. C’est étrange, cela s’en fiche. Cela devrait s’occuper des institutions judiciaires.
L’UPAP, sans affiliation avec un contrôle inchangé, témoigne, transmise principalement à BFMTV, « de l’idée et des problèmes qui se posent chaque jour en prison ».
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