« C’est très difficile » : Nicolas Sarbozy témoigne des conditions de sa détention mentale lors de l’examen de sa demande de libération

Ancien président Nicolas Sarbozy annoncé, ce lundi 10 novembre

« J’ai répondu directement à toutes les prières. Je n’ai pas pensé à attendre 70 ans pour me rencontrer.

L’ancien chef de l’État est détenu à la prison de la Santé depuis le 21 octobre en raison de la détermination des équipements de défense utilisés dans le procès des crimes de la Libye.

« J’aime mon pays »

Après la demande du parquet général, Nicolas Sarbozy en a également annoncé l’inutilité. « Je veux que le tribunal confirme une chose : je n’ai jamais eu l’idée folle de demander de l’argent à M. Kadhafi », a-t-il confirmé. « Je n’admettrai jamais ce que je n’ai pas fait. »

« J’aime mon pays, ma famille est en France et je me bats pour la vérité », a-t-il ajouté.

A « le Président, même s’il est dans une position forte, courageuse et courageuse », s’est adressé devant lui l’un des accusés, moi M. Jean-Michel Darroons.

« C’est en prison qui permet à Nicolas Sarbozy, et non à l’autre partie de Debofe, qui était détenue pour des raisons de sécurité, de recevoir en prison

A 13h30, la cour d’appel de Paris doit se prononcer sur la libération de l’ancien président. S’il est libéré, Nicolas Sarbozy quittera la prison dans les heures suivant l’intervention de l’administration pénitentiaire.

Plusieurs scénarios sont possibles : l’ancien président sort sans procès, libre sous surveillance, voire menotté aux lumières.

Premier article publié sur bfmtv.com

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