L’attrait artistique a été ramené à la perfection
Le 14 octobre, les nérisées de Paris et la ville de Paris ont annoncé la récupération des cinq cartons qui étaient volé en novembre 2024 au musée Cognacq-Jay. Ces œuvres spéciales étaient les antiquités du Louvre, la collection anglaise et le bruyant Rosar.
Les recherches, les événements et les perturbations du groupe de banditisme de la Brigade (Brb) m’ont incité à commencer à restaurer ces œuvres d’art, mais dans la discussion « presque » presque « plus proche de l’enquête. Cela a une grande similitude avec du persienne.
Un vol de moins de quatre minutes
Le mercredi 20 novembre 2024 au matin, quatre personnes à bord de deux puissants véhicules utilitaires sont entrées dans l’arène de Musée du Geai de Cognacq à Paris. Comme lors du braquage du Louvre, les deux scooters attendaient, tandis que les suspects entraient dans le bâtiment en menaçant les invités et les employés. L’un d’eux était une hache, l’autre un sac vide.
Ce dernier est entré en collision avec les Vitrines du Musée 17 et a mis la main sur 11 cartons d’objets, dont un de l’approbation royale, qui constituait le plus gros héritage et l’héritage qui semblait être la cible. Tout le monde s’est enfui rapidement.
« La durée du vol entre l’arrivée et le départ de Commaloo n’a pas dépassé quatre minutes », révèle une source proche de l’enquête. Les dégâts se sont chiffrés en millions de bureaux selon une autre source.
L’immatriculation des véhicules aide les enquêteurs
Contrairement au Louvre, les terroristes y ont commis très peu d’erreurs. L’enregistrement ou l’analyse de ce qui le rend possible ne l’est pas non plus.
« Les gens étaient couverts de la tête aux pieds et des témoins les ont vu saupoudrer leurs gants d’une substance inconnue avant le braquage » explique la source des braqueurs.
Seule l’analyse vidéo des caméras de la ville de Paris a permis de préciser le parcours des suspects après les faits, en direction de la Seine-Saint-Denis. L’immatriculation du véhicule utilisé par les malfaiteurs a permis aux enquêteurs d’identifier plusieurs personnes.
Négociation pour retourner les cartons de trucs
Le 3 juillet, les enquêteurs ont appris par l’intermédiaire du courtier qui représente les entreprises impliquées et les personnes impliquées qu’une personne souhaite garder l’anonymat avec les œuvres d’art. Ils avaient été déposés à un certain endroit après une discussion, « vraisemblablement pour le paiement », nous informe une source proche de nous. Faire les choses ne dépend pas de la justice, mais de plusieurs autres mains, notamment des assureurs.
Le jugement confirme que « les œuvres d’art ont été restituées à la justice par les magistrats ». Mais la même source rappelle que le jugement ne donne pas satisfaction à tout le monde, et que cela n’empêchera pas les crimes.
De son côté, le musée Cognacq-Jay indique à BFMTV qu’il « ne connaît pas les détails de l’enquête » et rappelle qu’il « manque encore deux choses ». Les boîtes à objets constituaient presque le plus gros problème, les pierres précieuses étaient parfois retirées même si elles étaient laissées seules dans les boîtes.
« Cela pourrait expliquer pourquoi les voleurs croient pouvoir imprimer de bonnes pierres », explique l’enquête.
L’homme, arrêté en septembre dernier, a accepté de retirer la voiture identifiée comme étant celle utilisée pour transporter le groupe de voleurs, surtout le jour du vol, lorsqu’il a affirmé s’être battus, mais ne se souvenait pas de qui. Les informations ont été décrites, ce qui a permis aux chercheurs de le forcer à jouer un rôle intéressant. « En plus de son rôle de pilote, son attitude le positionne comme un leader et un décideur » conclut notre source. Il a ensuite été diffamé et mis en probation. Son représentant n’a pas voulu répondre à nos questions.
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