L’influence de Poupette Kenza revient dans son cas d’extorsion et cite « Game of Thrones »
Justice – L’ancienne star des réseaux sociaux a encore beaucoup à dire. Influenceur Kenza Benchrif, alias Poupette Kenza sur les réseaux sociaux, a accordé une interview à parisien Ce dimanche 18 mai. Une première incursion médiatique depuis ses problèmes judiciaires qui l’ont conduit, enceinte, jusqu’à un Rouen Remand Cell pendant plusieurs mois.
Avant la sortie d’un livre le 22 mai, elle promet de dire » Sa vérité »Dans l’affaire pour laquelle elle a été inculpée en juillet dernier « Tentative d’extorsion dans un gang organisé » ET « Association des criminels ». Et cela, après avoir embauché un homme de main pour essayer de récupérer l’argent, elle accuse un ancien ami et collaborateur d’avoir volé. Quantité de dégâts selon l’influenceur? Plus de 350 000 euros.
L’influenceur Poupette Kenza revient avec un livre, ses fans exultent
Pendant cette longue interview, Poupette Kenza continue de ne pas minimiser les faitsMême si elle semble parfois avoir une façon particulière de décrire certains protagonistes de l’affaire, comme nous l’apprenons dans les colonnes de parisien. «Je veux dire ma vérité. Je leur dois (à ses poupées, surnom de ces 1,1 million d’abonnés, note de l’éditeur) après toutes ces années pour me suivre. Et je me sens prêt aujourd’hui Elle dit à partir des premières questions.
« J’ai regardé la série pendant que j’écrivais «
« J’ai mal agi, je le regrette « Elle dit quand elle arrive au cœur de la question de l’affaire lancée par la plainte, le 23 février 2024, d’un couple qui « Faisant l’objet de diverses surveillance (physique, implantation de mini-camérons près de leur domicile et étiquette GPS placée sur leur véhicule) et a été physiquement menacée sous réserve de la livraison d’une somme de 200 000 euros ». Comme l’a expliqué le procureur de Rouen en juillet dernier.
« J’ai embauché un homme de main et je voulais rendre justice moi-même »Dit donc Poupette Kenza. « On m’a dit qu’il était fort, physiquement impressionnant. Je voulais avec sa présence, il a mis un coup de pression », Elle se développe. Avant d’ajouter qu’elle ne le fait pas » ne niera pas la culpabilité » pendant le procès. « Mon avocat m’a expliqué que, en droit, l’extorsion consiste à retirer de l’argent par menace ou intimidation, alors oui, finalement, c’est l’extorsion. » «
Plus curieux, l’influenceur utilise dans son livre pour être publié, De Poupette à Kenza: les dix secondes qui ont changé ma vieSurnoms spéciaux pour décrire les différents protagonistes de l’affaire. Que ce soit le sien » ancien partenaire « , Renommé » Cersei « , Ou l’homme de main s’est transformé en » La montagne ». Deux références directes aux personnages de la série Game of Thrones qui sont loin des plus nobles. L’influenceur, elle, nuances cette observation: » C’est simplement parce que j’ai regardé la série pendant que j’écrivais le livre. Les personnages ne sont pas tous si mauvais, ils ont également une partie de l’humanité. Même Cersei a son petit cœur en bas … ».
De retour à l’automne?
Quant à son avocat moi Jérémy Kalfon, il assure que « L’enquête devrait être fermée au début de l’été. » «Nous nous attendons à ce que la justice réitère les faits, en tant que correctionnel. Il n’y avait ni violence ni gang organisé. C’est juste une question d’influenceur perdu»Nuances également ses conseils.
Après quatre mois d’incarcération et un retour à l’anonymat après sa libération sous surveillance judiciaire le 31 octobre, l’influenceuse commence son retour aux plateformes. Pas sans quelques changements importants. « Certains réseaux tels que Snapchat poussent à la dépendance. Contrairement à Instagram qui limite le nombre d’histoires à 100 par jour, nous pouvons le faire aussi longtemps que vous le souhaitez, ce qui vous donne envie de publier plus »Elle note avec le recul.
« Je suis entré dans un équipement imparable qui m’a fait autant aussi bien ». Poupette Kenza affirme donc qu’elle ne sera pas vue » Pas sur les réseaux sociaux avant au moins cet automne »Expliquer en passant par le suivi médical pour » Définir (s) nous problème d’impulsivité ». Avant de s’affirmer: » Si je reviens aux réseaux, je serais complètement détaché, dans un état d’esprit différent ».
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