France 24 licencie un deuxième journaliste pour des tweets antisémites – I24NEWS
Dina Abi-Saab a salué le terroriste palestinien qui a tué deux civils et a salué les tirs de roquettes sur Israël
Dina Abi-Saab, journaliste à France 24a été licencié suite à la révélation d’anciens posts antisémites.
Elle est la deuxième des quatre journalistes citées lors d’une session parlementaire française le 18 juillet pour des actes similaires.
En mars, le Committee for Accuracy in Middle East Reporting and Analysis (CAMERA) a révélé des tweets antisémites de ces quatre journalistes. L’organisation, qui se concentre sur la détection des préjugés anti-israéliens dans les médias internationaux, a publié les noms et profils des personnes concernées sur les réseaux sociaux.
En mars, France 24 a licencié sa correspondante à Beyrouth, Joelle Maroun, après que le rapport ait révélé une longue liste de messages de Maroun allant de l’éloge d’Hitler à l’appel aux Palestiniens pour qu’ils assassinent les Juifs dans un tweet aujourd’hui effacé aujourd’hui.
D’origine libanaise, Abi-Saab, correspondant de France24 à Genève, multiplie les messages polémiques et antisémites sur X (anciennement Twitter). En 2017, elle a publié un article sur une prétendue lettre du roi Charles III, affirmant que l’arrivée de Juifs occidentaux en « Palestine » était à l’origine des conflits au Moyen-Orient.

Selon CAMERA, qui a surnommé ce groupe de journalistes « le club anti-israélien de France24 », Abi-Saab s’en est pris à X en 2019 pour qualifier le terroriste Omar Abu Laila de « martyr ».
Abu Laila a été tué lors d’un affrontement avec des soldats israéliens après avoir assassiné deux civils. Par ailleurs, dans d’autres tweets, elle s’est félicitée des tirs de roquettes de Gaza vers Israël et a qualifié Israël de « Palestine occupée ».
Suite à ces révélations, CAMERA a souligné que France 24, en tant que média financé par l’État, rémunère ses employés avec des fonds provenant des contribuables français. Les tweets controversés mis en lumière par CAMERA ont été publics et publiés sur les comptes personnels des employés pendant de nombreuses années.
D’après les informations de CAMERA, le député français Meyer Habib a abordé cette question lors d’une récente session à l’Assemblée nationale. Il a interrogé le gouvernement sur l’opportunité de financer les salaires des journalistes exprimant ouvertement de telles opinions.