L’Allemagne a trop longtemps grignoté les caisses françaises, c’est fini maintenant

L’UE traverse une période difficile et le nouveau chef du bloc non déclaré a un plan, mais l’Allemagne se fait passer pour un trouble-fête. Il est bien connu que le bon vieux temps de l’Allemagne où elle était citée comme une superpuissance dans le bloc est désormais révolu. Et, l’âge d’or de France approche à grands pas. Les pays de l’Union européenne partagent une bonne vieille histoire de paix et de coopération, mais les relations entre les deux puissances suprêmes se détériorent. L’avancement de la France a irrité les nerfs de l’Allemagne et, par conséquent, elle a pris des mesures anti-françaises qui ont par conséquent nui aux intérêts des blocs. Il est grand temps que l’Allemagne se prépare à respecter les diktats de France pour le plus grand bien de l’UE.

Une guerre froide se prépare entre les États-Unis et la France alors que cette dernière atteint des niveaux comparables aux États-Unis. Eh bien, cela a été un sujet de préoccupation non seulement pour Washington, mais aussi pour le voisin de la France, l’Allemagne, qui jouit depuis lors du siège convoité d’un dirigeant de l’UE. L’Allemagne fait des cauchemars où la France dépasse la course ; par conséquent, le pays a été en désaccord avec le président français Emmanuel Macron et a suivi les lignes du président américain Joe Biden essayant de creuser la tombe de Frances.

La France fonde de grands espoirs sur Olaf Scholz POLITICO
Source – POLITICO

Les États-Unis n’ont jamais eu assez de poignarder les Français avec leurs politiques injustes contre l’UE qui nuisent le plus aux intérêts de la France. L’une de ces politiques était la loi sur la réduction de l’inflation, qui est même devenue une pomme de discorde entre les poids lourds industriels des blocs – la France et l’Allemagne. Olaf Scholz et Emmanuel Macron se sont réconciliés en s’accordant sur l’inquiétude croissante face à la concurrence déloyale des États-Unis et la probable nécessité pour l’Europe de riposter.

Le président français et la chancelière allemande ont parlé pendant plus de trois heures lors d’un déjeuner composé de poisson, de vin et de champagne quelques jours à Paris de leurs préoccupations communes concernant la loi sur la réduction de l’inflation. La nouvelle législation introduite par les États-Unis ne prend en charge que les véhicules électriques assemblés en Amérique du Nord. Les pays considèrent les sections EV et automobile de la loi sur la réduction de l’inflation comme étant à la fois contraires aux lois commerciales internationales et aux relations économiques croissantes avec les États-Unis.

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Selon la loi sur la réduction de l’inflation, les véhicules électriques produits dans le pays sont éligibles à un crédit d’impôt de 7 500 $. À partir de 2023, le crédit d’impôt est soumis à de nouveaux plafonds. Les véhicules doivent toujours être produits aux États-Unis, mais il existe désormais des exigences plus strictes pour la composition minérale et les composants des batteries EV.

Ainsi, la nouvelle législation des États-Unis est vouée à nuire le plus au secteur automobile français parmi les autres pays et, par conséquent, Emmanuel Macron a décidé de rassembler l’Union européenne dans le but de contrer la loi américaine sur la réduction de l’inflation, forte de plusieurs milliards de dollars. La France a eu recours à la création d’un fonds européen commun soutenu par Bruxelles pour s’opposer à l’acte, mais les États-Unis caressent l’Allemagne qui semble désormais désintéressée par le projet. Des pays comme la Chine et les États-Unis ont dépensé des sommes considérables pour renforcer leurs industries et attirer les investisseurs avec des subventions coûteuses, ce qui a par conséquent exercé une pression accrue sur l’UE pour qu’elle agisse. La France a donc proposé un plan, mais l’Allemagne se présente comme un obstacle. dans le chemin maintenant.

L’industrie automobile représente à elle seule plus de 7 % des recettes du PIB de l’UE. Ainsi, dans une tentative de représailles, la Commission européenne a prévu de créer un système de financement européen commun, le fonds de souveraineté pour contrer ces développements, mais fait face à une bataille difficile de la part de l’Allemagne. Le ministre des Finances Christian Lindner prend position contre une réponse qui impliquerait toute forme d’emprunt commun au niveau de l’UE.

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Alors que le ministre allemand des Finances, Christian Lindner, a souligné qu’il pourrait être utile de regrouper les instruments existants, il a souligné que tout instrument impliquant des dettes conjointes serait exclu.

Un fonds de souveraineté ne doit pas être une nouvelle tentative d’emprunt européen commun, a-t-il averti avant la réunion des ministres européens des Finances de lundi 5 décembre. Nous ne voyons aucune raison pour une dette européenne commune supplémentaire, a ajouté Lindner.

Comme nous l’avons dit, une guerre froide est en cours entre les deux poids lourds de l’UE, l’Allemagne veut contrer la France par tous les moyens. Mais, il est temps que l’Allemagne arrête de suivre la ligne de Washington. De toute évidence, le diktat anti-UE de l’Allemagne ne manquera pas de susciter des critiques et il ne sera pas exagéré de conclure que l’Allemagne se dirige vers l’ostracisme du bloc.

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